Sa vie durant, Claude Monet aura peint la lumière. Quatre-vingt-six ans dont soixante-dix passés le pinceau à la main. Tel est le fil rouge de sa vie et de son œuvre. Telle est sa résolution, son engagement et son chemin. Sa force, il la tire d’un renouvellement constant, de son extraordinaire capacité à réinventer sa peinture et à reformuler ses préoccupations au fil du temps. Le Monet de la jeunesse, de la maturité et de l’œuvre ultime ne se ressemble pas. Il incarne d’abord les prémices de l’impressionnisme, puis l’impressionnisme en tant que tel, définit ensuite les séries et le sujet unique, pour se faire in fine l’interprète des féeries de son bassin, devenir le peintre des Nymphéas et l’auteur des Grandes Décorations de l’Orangerie.
C’est ce parcours que Marianne Mathieu dessine en s’appuyant sur une iconographie riche comprenant les « incontournables » (Impression, soleil levant, La Pie, etc.), mais aussi des œuvres moins connues, parfois surprenantes. Elle nous fait (re)découvrir le peintre, l'homme dans sa simplicité et ses vicissitudes quotidiennes, animé de la volonté d'aller toujours plus en avant jusqu'à supprimer les lignes, jusqu'à ce que l'eau devienne l'univers et que la peinture exprime un tout indicible autrement.
C’est ce parcours que Marianne Mathieu dessine en s’appuyant sur une iconographie riche comprenant les « incontournables » (Impression, soleil levant, La Pie, etc.), mais aussi des œuvres moins connues, parfois surprenantes. Elle nous fait (re)découvrir le peintre, l'homme dans sa simplicité et ses vicissitudes quotidiennes, animé de la volonté d'aller toujours plus en avant jusqu'à supprimer les lignes, jusqu'à ce que l'eau devienne l'univers et que la peinture exprime un tout indicible autrement.