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Les morts ont tous la même peau

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annec44
3.80
22 Octobre 2015
Publié sur
L'écriture de Boris Vian a quelque chose de trs envoûtant en même temps que de dérangeant. On a du mal à voir le but de l'auteur et pourtant on ne s'imagine pas s'arrêter en chemin. Au final, on en re.....
PiertyM
3.80
07 Juillet 2014
Publié sur
Après tant de camouflage et de mensonge envers soi-même et envers toute la société, seul le sexe, l'instant lascif ne se laisse pas berner, il fait cracher en pleine figure à Dan sa vraie identité...i.....
KrisPy
3.80
05 Juillet 2014
Publié sur
Livre violent, très violent. Boris Vian avait plusieurs facettes - écrivain, musicien, poète, chansonnier. Il était aussi fasciné et passionné par le jazz, la culture américaine et par les grands aute...
Anonyme
5
Publié sur
Et voici le second Sullivan au moins aussi virulent et dérangeant que le premier. La encore, tous les composants sont réunis pour en faire un puissant polar : le sexe, la violence et la haine réunis en une intrigue bien menée ; tout ça dans une Amérique toujours aussi dingue. Un très bon polar.
3
Publié sur
3
Publié sur

Avis des lecteurs

 
4/5
Note moyenne obtenue sur :
Fnac Babelio Hachette.fr
Portrait de Anonyme
Anonyme
3/5
23 Décembre 2021
Publié sur
Il vit dans un monde violent, il est videur dans une boite de nuit, il use souvent de sa force. Cela devient routinier de violenter les hommes. Dan connaît des excès de violence, il boit aussi pas mal. Dan à un fils. Dan aime sa femme, il la trompe souvent. Il cueille les clientes un peu saoules à la sorties de la boite de nuit, au nez de leurs compagnons. Il prend ces clientes, elles se laissent faire. Tout ceci est normal après tout. Un événement en la personne de Richard, son supposé frère noir, vient troubler cette apparente tranquillité. Après plus rien ne ressemblera à la vie d'avant. Dan se laisse emporter par la violence. Le tableau s'impose avec une touche prononcé de sexe, une marque de violence, et un ton sur la difficulté du personnage à expliqué ses gestes. Dan souffre et s'effrite sous la pression doucement, doucement. Vian décrit la vie d'un personnage incapable de se raisonner, un personnage qui perd pied et descend petit à petit dans un abîme rugueux et froid comme la mort. Les morts ont tous la même peau est une occasion de dénoncer le racisme. Vian insère dans chaque passage une poésie des mots, une poésie brute et implacable.