"Avec beaucoup de pudeur – et peut être une pointe de nostalgie – Anthony Passeron nous parle de lui en dressant le tableau d’une génération, happée par l’innovation. Mais que reste-t-il quand la partie est terminée ?
Un très beau texte à la fois émouvant, bouleversant et animé par l’égoïsme et la légèreté de l’adolescence."
Caroline
