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Yellow birds

Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Emmanuelle et Philippe Aronson

Kevin Powers

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Bartle, 21 ans, est soldat en Irak, à Al Tafar. Depuis l’entraînement, lui et Murph, 18 ans, sont inséparables. Bartle a fait la promesse de le ramener vivant au pays. Une promesse qu’il ne pourra pas tenir… Murphy mourra sous ses yeux et hantera ses rêves de soldat et, plus tard, de vétéran. 
Yellow birds nous plonge au coeur des batailles où se déroule la vie du régiment conduit par le sergent Sterling. On découvre alors les dangers auxquels les soldats sont exposés quotidiennement. Et le retour impossible à la vie civile. 
Kevin Powers livre un roman fascinant sur l’absurdité de la guerre, avec une force aussi réaliste que poétique.


« Kevin Powers a écrit le À l’ouest rien de nouveau des guerres américaines en terre arabe. » 
Tom Wolfe

« Un premier roman puissant et émouvant. » 
New York Times

« Essentiel. À lire absolument. » 
The Guardian

« Littéraire, sobre et envoûtant. » 
Time Magazine

« Dévastateur. » 
Damian Lewis, Homeland 

Prix littéraires
Prix littéraire Le Monde
2013

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Actualités & Événements

Avis des lecteurs
Publié sur
05/02/14
C'est un premier roman époustouflant. Kevin Powers parle de quelque chose qu'il a vu, connu, vécu. Aujourd'hui 70.000 ex soldats de l'armée américaine, remerciés par une chaude poignée de main et un grand coup de pied dans le c.. errent, complètement déboussolés, et sans domicile fixe, dans l'Amérique du 21ème siècle. On le sait, c'est dit, c'est écrit mais ce n'est qu'un dommage collatéral qui n'empêche pas Bush, Rumsfeld ou tant d'autre de dormir, soyez sans crainte. On a donné un nom à cette situation, ce qui est déjà un progrès par rapport à la guerre du Vietnam ou regardons chez nous, à la guerre de 14-18 quand on s'occupait plus des morts que de ceux qui revenaient : choc post traumatique !Construction du récit éclaté comme une grenade, scènes tendues, violentes, pleines de bruit, de sang, d'odeurs, qui se succèdent avec des moments de silence, de poésie, ou même de recueillement. Le livre est dans une phrase : « La guerre essaya de nous tuer durant le printemps ». C'est la première phrase et tout au long du livre on y revient. La guerre essaya de nous tuer durant le printemps. La guerre.
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patagon
Publié sur
15/01/14
Une façon narrative qui tient en haleine. Beaucoup d\'émotion, de sensibilité sur un sujet, la guerre en Irak, malheureux.
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JLLK
Publié sur
05/12/13
La structure du récit, alternant l'Irak avec la ville de Richmond, renforce chacun des deux récits plutôt que d'en annuler le charme de chacun. Pour un premier roman c'est à un auteur particulièrement talentueux qu'on a affaire, avec un style propre à chaque segment, poétique ou réaliste. Le chapitre 9 en est la pierre angulaire.C'est au film de Hal Hashby "le retour" que le livre m'a fait penser, non pas pour l'histoire mais pour cette façon de traiter la guerre à hauteur d'homme, ou même sur le sol américain natal le conflit demeure en chacun.
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Caberlot
Publié sur
08/09/13
Quel talent. Chaque mot est choisi, pesé, pour transmettre toute la lourdeur et le coté poisseux de cet univers dans lequel ce jeune homme se trouve confronté : la guerre. Un livre qui vous poursuit. ID
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IDILJ
12
5/
5
Note moyenne obtenue sur :
FNAC