Que fait le travail aux individus et quelles sont les variations de pratiques au sein d’un même métier ? En quoi certaines professions sont-elles perçues comme plus légitimes que d’autres ? Comment comprendre les trajectoires différenciées des individus au sein d’un espace professionnel ? Et que peut encore la sociologie pour penser la complexité des liens entre travail et hors-travail ?
Par une approche inédite de la sociologie du travail et des professions adossée à la théorie sociale de Pierre Bourdieu, cet ouvrage montre comment les espaces professionnels dépendent du macrocosme social. Il permet de mieux comprendre les dynamiques de représentation, de hiérarchisation et de transformation qui les traversent.
En s’appuyant sur des enquêtes menées dans des univers de travail divers – journalisme, santé, social, police, sport, hôtellerie, indépendant·es, armée – ce manuel interroge les hiérarchies internes, les luttes de définition, les effets de socialisation et les stratégies individuelles au sein des espaces professionnels.
Les concepts de champ, de capital, d’habitus, d’illusio ou d’ethos sont mis à contribution à partir d’études de terrain pour saisir l’épaisseur des pratiques au travail. Ils permettent d’appréhender à la fois l’homogénéité et l’hétérogénéité des espaces professionnels, leurs logiques propres et les rapports sociaux qui les structurent.
Ce faisant, l’ouvrage propose une sociologie du travail et des professions résolument critique et relationnelle, qui offre aux chercheur·es une compréhension renouvelée de ce domaine. Une analyse pour comprendre, au-delà des apparences, ce que les manières de travailler disent du monde social – et de ses transformations.
Par une approche inédite de la sociologie du travail et des professions adossée à la théorie sociale de Pierre Bourdieu, cet ouvrage montre comment les espaces professionnels dépendent du macrocosme social. Il permet de mieux comprendre les dynamiques de représentation, de hiérarchisation et de transformation qui les traversent.
En s’appuyant sur des enquêtes menées dans des univers de travail divers – journalisme, santé, social, police, sport, hôtellerie, indépendant·es, armée – ce manuel interroge les hiérarchies internes, les luttes de définition, les effets de socialisation et les stratégies individuelles au sein des espaces professionnels.
Les concepts de champ, de capital, d’habitus, d’illusio ou d’ethos sont mis à contribution à partir d’études de terrain pour saisir l’épaisseur des pratiques au travail. Ils permettent d’appréhender à la fois l’homogénéité et l’hétérogénéité des espaces professionnels, leurs logiques propres et les rapports sociaux qui les structurent.
Ce faisant, l’ouvrage propose une sociologie du travail et des professions résolument critique et relationnelle, qui offre aux chercheur·es une compréhension renouvelée de ce domaine. Une analyse pour comprendre, au-delà des apparences, ce que les manières de travailler disent du monde social – et de ses transformations.
