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Dans un village de Corse, un homme simple est accusé à tort de meurtre. Mais qui a tué la jolie Florence ?

« En 1983 moi j’ai trente ans. Et je croyais que les mascottes c’était des bouchons de radiateur sur des voitures de collection. Je pensais pas qu’un être humain ça pouvait se transformer en mascotte. J’ai vérifié dans mon dictionnaire. Y avait marqué porte-bonheur comme définition. Être un porte-bonheur, c’est pas tout le monde qui peut ! »

On ne l’appelle jamais Antoine Orsini dans ce village perché au cœur des montagnes corses mais le baoul, l’idiot du coin. À la marge, bizarre, farceur, sorcier, bouc émissaire, Antoine parle à sa chaise, lui raconte son histoire, celles des autres, et son lien ambigu avec Florence Biancarelli, une gamine de seize ans retrouvée morte au milieu des pins et des années 80. Qui est coupable ?

On plonge à pic dans la poésie, le monde et la langue singulière d’un homme simple. Jusqu’à la cruelle vérité.

Avec une justesse de ton qui force l’admiration, Julie Estève livre un roman d’une beauté âpre, poignant d’humanité. Le Monde des livres.

Un premier livre captivant, porté par une écriture magnifique. Version Femina.

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Avis des lecteurs
Publié sur
09/01/19
Il m'a fallu un temps, quelques pages, pour m'habituer à la syntaxe, à la grammaire chaotique. Je me suis demandé un moment pour qui l'auteur se prenait de se permettre de s'immiscer dans les pensées ...
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ventrebleu
Publié sur
26/08/18
Récit tragique au Coeur de la Corse. Antoine Orsini est le Baoul, le rejeté, le proscrit, élu par sa famille et ses habitants comme le simple d'esprit. Pourtant, il observe et comprend bien mieux que ...
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nathalia1307
Publié sur
14/06/23
J'ai voulu lire le livre après avoir vu le seul en scène qui en est tiré et je me suis régalée . Bravo , ce texte est tour à tour drôle et émouvant , dur et doux ; une réussite
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Sylvie D.
4.5/
5
Note moyenne obtenue sur :
BABELIO et FNAC