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De 1939 à 1945, au camp de Ravensbrück, 132  000 femmes et enfants furent les victimes silencieuses des nazis. Résistantes, Tziganes, Témoins de Jéhova, handicapées, prostituées ou juives, elles étaient pour le Reich des déclassées, des «  bouches inutiles  ». Parmi elles, 8  000  Françaises dont Germaine Tillion et Geneviève de Gaulle-Anthonioz.
Fruit d'un travail d'enquête minutieux à travers le monde à la rencontre des dernières rescapées et des familles des déportées, ce livre exceptionnel rend hommage et redonne la parole à ces femmes, vibrantes héroïnes d'une histoire restée trop longtemps marginale. En écho à Si c’est un homme de Primo Levi, Sarah Helm interroge l’indicible, pour ne «  jamais oublier ce qui s’est passé  ».
 
Une bouleversante «  biographie  » de Ravensbrück. Sans prétendre l’expliquer, Sarah Helm esquisse comment les rescapées ont pu survivre à l’horreur. Et s’en remettre.  Marie Charrel, Le Monde des livres.
Avis des lecteurs
Publié sur
05/02/21
Qqfois un peu confus, des noms compliqués à retenir, ce livre est un travail d’histoire considérable, quand on voit ce que sont capables de faire des femmes et hommes comme atrocités et que à contrario il y a en face des êtres profondément généreux, on est stupéfaits... et ça ne sert même pas de leçon.
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blandine b.
Publié sur
02/02/19
Sarah Helm dans "Si c'est une femme" nous fait vivre le quotidien des femmes prisonnières du camp de concentration Ravensbrück.
Les témoignages, le récit des faits historiques, les photographies... Montrent une réalité qui dépasse l'entendement. Et pourtant c'est ce qu'il fut.
Ces femmes dont le courage a été sans limites méritent tout notre temps et notre attention.
En tant que femme, je ne peux être que bouleversée et touchée par cet ouvrage. C'est pourquoi, je le conseil à tous.
Pour ne jamais oublier ces femmes, pour ne jamais oublier les atrocités qui ont été commises.
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Mégane A.
Publié sur
16/12/17
Le pendant de du j'étais un homme de primo Lévi très dur mais ne jamais oublier
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CATHERINE H.
Publié sur
30/11/17
Donnons un peu de pouvoir à un gardien ou à un détenu homme ou femme et il s’ensuit dans la majorité des cas un abus d’autorité dans la situation présente criminel . Peu de personnes sont capables de privilégier un principe universel à leur vie à leur liberté et même à leur confort ..
Ah ces listes que même un détenu ayant des responsabilités peut modifier donnant droit de vie et de mort.....
la comparaison de Beuber Neuman entre les camps soviétiques et nazis aurait pu être intéressante et édifiante.
Somme toute que l’on admire ou pas les témoins de Jéhovah qui ont eu souvent une attitude que d’aucun on put juger excessive il sont restés droits dans leurs botes et n’encourent pas sauf erreur de ma part de responsabilité de sang versé.
Je n’en ai pas encore terminé la lecture mais ce livre suscite de grands sujets de réflexions à l’heure de l’argent roi .
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Jean Marc
4.5/
5
Note moyenne obtenue sur :
FNAC