Massimo est un jeune poète oisif. Un matin, son ami Aldo le réveille à la hâte. Il faut qu’il le remplace pour son cours d’italien auprès de Rose, une princesse. Une princesse ? Que va-t-il lui dire ? Que doit-il lui apprendre ? L’italien ? Il ne le parle pas l’italien. L’amour ? Il n’en sait rien. Parler de lui ? Impossible.
Rose et Massimo, ce sont un peu les enfants de Roméo et Juliette. Des enfants terribles qui, s’étant introduits dans la chambre de leurs parents en secret, auraient dévalisé tout ce qui leur plaisait. Dignes représentants de leur jeunesse et de leur temps.
Un hommage émouvant et moderne aux jeux de l’amour et du hasard pas cet Edmond Rostand 2.0.
C’est du théâtre qui se lit, qu’on se surprend à relire, parfois, car la phrase est jolie, car il est bon de redécouvrir cette langue romantique, et, lorsqu’elle est mariée avec autant de dextérité, on se dit qu’un auteur est né. Alexis Michalik.
Un texte d'une qualité renversante. Cette pièce sent l'immortalité ! Alice Courtieux, La Provence.
Préface par Alexis Michalik.
Rose et Massimo, ce sont un peu les enfants de Roméo et Juliette. Des enfants terribles qui, s’étant introduits dans la chambre de leurs parents en secret, auraient dévalisé tout ce qui leur plaisait. Dignes représentants de leur jeunesse et de leur temps.
Un hommage émouvant et moderne aux jeux de l’amour et du hasard pas cet Edmond Rostand 2.0.
C’est du théâtre qui se lit, qu’on se surprend à relire, parfois, car la phrase est jolie, car il est bon de redécouvrir cette langue romantique, et, lorsqu’elle est mariée avec autant de dextérité, on se dit qu’un auteur est né. Alexis Michalik.
Un texte d'une qualité renversante. Cette pièce sent l'immortalité ! Alice Courtieux, La Provence.
Préface par Alexis Michalik.
Dossier par Julie Chaintron.