Que font les aristocrates désargentés pour garder leur standing dans le Londres du XIXe siècle ? Ils ouvrent un hôtel ! Et celui du Parent pauvre n’a jamais aussi bien porté son nom : les comptes sont à zéro. Les clients, aussi aristocratiques soient-ils, sont de mauvais payeurs. Il est temps de sévir. Quelle meilleure cible que Lord Gray, qui a accumulé six mois de retard de loyer ? C’est au tour du colonel Sandhurst de mouiller sa chemise, mais sa mission prend une autre tournure lorsqu’il croise par hasard Frederika, la fille de Lord Gray. Prise d’otage, demande de rançon… Sandhurst est prêt à tout pour recouvrer les dettes de l’établissement. Mais Frederika, ravie d’échapper aux griffes de son père, en profite pour badiner, au risque de perturber les plans du colonel…
Les moyens, tout comme la morale parfois douteuse, font tout le sel de cette série very british pleine d’humour. Avantages.
On quitte pour un temps Agatha Raisin ou Hamish Macbeth pour découvrir de nouveaux personnages tout aussi drôles et attachants nés de l’imagination de la regrettée M. C. Beaton. Le Dauphiné libéré.
Les moyens, tout comme la morale parfois douteuse, font tout le sel de cette série very british pleine d’humour. Avantages.
On quitte pour un temps Agatha Raisin ou Hamish Macbeth pour découvrir de nouveaux personnages tout aussi drôles et attachants nés de l’imagination de la regrettée M. C. Beaton. Le Dauphiné libéré.