Les algorithmes s’invitent dans nos vies amoureuses et sexuelles. Des applications de rencontres aux objets connectés en passant par la pornographie à la demande, les réseaux sociaux et les messageries instantanées, ils influencent désormais nos perceptions, nos comportements et notre quête de l’amour.
Aurélie Jean explore les bouleversements induits par cette « algorithmisation ». Elle analyse l’accélération de la cristallisation amoureuse, la marchandisation des rapports, les discriminations reproduites, ou encore les nouvelles formes d’intimité avec des agents conversationnels ou des robots sexuels. Loin des visions négatives, ce livre montre comment, en comprenant ces technologies, nous pouvons faire de l’amour une aventure plus humaine que jamais. Même à l’ère numérique. Car si le code a changé, il nous appartient toujours d’en réécrire les règles.
Entre fascination et inquiétude, Aurélie Jean interroge notre capacité à rester maîtres de ce qui nous lie les uns aux autres. Nidal Taibi, Le Vif/L’Express.
Un ouvrage à la dimension sociologique qui désacralise l’intelligence artificielle et apporte une bonne dose de rationalité au discours sur le sujet. Laurence Bottero, La Tribune.
Aurélie Jean explore les bouleversements induits par cette « algorithmisation ». Elle analyse l’accélération de la cristallisation amoureuse, la marchandisation des rapports, les discriminations reproduites, ou encore les nouvelles formes d’intimité avec des agents conversationnels ou des robots sexuels. Loin des visions négatives, ce livre montre comment, en comprenant ces technologies, nous pouvons faire de l’amour une aventure plus humaine que jamais. Même à l’ère numérique. Car si le code a changé, il nous appartient toujours d’en réécrire les règles.
Entre fascination et inquiétude, Aurélie Jean interroge notre capacité à rester maîtres de ce qui nous lie les uns aux autres. Nidal Taibi, Le Vif/L’Express.
Un ouvrage à la dimension sociologique qui désacralise l’intelligence artificielle et apporte une bonne dose de rationalité au discours sur le sujet. Laurence Bottero, La Tribune.
