Des décisions économiques aux initiatives sur le dossier nucléaire iranien, l’élection de Joe Biden semble marquer nombre de ruptures. Elle consacre néanmoins des évolutions déjà à l’oeuvre, tout particulièrement le duel entre les États-Unis et la Chine, cette dernière affichant pour sa part une attitude de plus en plus décomplexée dans son environnement régional comme avec les grandes puissances.
Dans ce contexte de rivalité désormais structurant des relations internationales, qu’en est-il des ambitions géopolitiques de l’Union européenne ? Des tensions entre les puissances occidentales et la Russie, alors que l’on assiste également à une évolution des formes de conflits dans le monde ? Des processus démocratiques ou sécuritaires en Afrique ? Des effets sanitaires et économiques du Covid-19 en Amérique latine ? De même que la pandémie aura suscité des questionnements sur le futur de la mondialisation et la transition énergétique, elle n’a produit que peu d’effets sur la lutte contre le changement climatique, quand pourtant s’annoncent des échéances cruciales.
Dans ce contexte de rivalité désormais structurant des relations internationales, qu’en est-il des ambitions géopolitiques de l’Union européenne ? Des tensions entre les puissances occidentales et la Russie, alors que l’on assiste également à une évolution des formes de conflits dans le monde ? Des processus démocratiques ou sécuritaires en Afrique ? Des effets sanitaires et économiques du Covid-19 en Amérique latine ? De même que la pandémie aura suscité des questionnements sur le futur de la mondialisation et la transition énergétique, elle n’a produit que peu d’effets sur la lutte contre le changement climatique, quand pourtant s’annoncent des échéances cruciales.