Fin des années 1970. Mazna et Idris Nasr ont été contraints de quitter la Syrie et le Liban et se sont installés ensemble dans une petite ville en plein désert californien. Si Idris a réalisé son rêve d’être médecin, Mazna a dû dire adieu à sa carrière d’actrice pour élever leurs trois enfants.
Quarante ans plus tard, la famille vit éparpillée à travers le monde et tente de maintenir des liens chaotiques. Mais, quand Idris décide de vendre leur demeure ancestrale de Beyrouth, tous embarquent pour défendre l’ultime bastion de leur histoire commune.
Hala Alyan retrace la destinée tragique du Liban, marqué par la guerre, les tensions religieuses et les protestations poltiques, prêt à s’embraser à tout instant, à l’instar de cette famille rongée par des secrets.
Peut-on revenir à l’endroit qu’on a fui ? Telle est l’une des questions posées par ce roman, que l’on referme avec l’impression d’avoir fait un grand voyage et qui nous rapproche avec émotion de la Syrie et du Liban. Le Courrier de l’atlas.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Aline Pacvo.
Quarante ans plus tard, la famille vit éparpillée à travers le monde et tente de maintenir des liens chaotiques. Mais, quand Idris décide de vendre leur demeure ancestrale de Beyrouth, tous embarquent pour défendre l’ultime bastion de leur histoire commune.
Hala Alyan retrace la destinée tragique du Liban, marqué par la guerre, les tensions religieuses et les protestations poltiques, prêt à s’embraser à tout instant, à l’instar de cette famille rongée par des secrets.
Peut-on revenir à l’endroit qu’on a fui ? Telle est l’une des questions posées par ce roman, que l’on referme avec l’impression d’avoir fait un grand voyage et qui nous rapproche avec émotion de la Syrie et du Liban. Le Courrier de l’atlas.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Aline Pacvo.