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Dans une vieille bâtisse isolée en Toscane, une fillette souffre de maux bien étranges… Lors de phases de transe, Eva semble habitée par le mal et obéit aux ordres d’un ami imaginaire inquiétant.
C’est en tout cas ce que rapporte sa jeune fille au pair à Pietro Gerber, illustre hypnotiseur pour enfants. Ce dernier, traumatisé par sa précédente affaire, hésite à prendre en charge cette patiente.
Mais au cours de leurs séances, elle dissémine des indices sur une histoire qui ronge Gerber depuis des décennies : la disparition brutale de son ami, survenue dans son enfance.
Comment peut-elle être au courant de détails que même Gerber a enfouis en lui ? En sondant les affres de la mémoire d’Eva, Pietro Gerber va être victime d’un jeu de piste dangereux, qui l’obligera à se confronter à ses pires démons.

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Avis des lecteurs
Publié sur
01/12/23
ADDICTIF !

Un roman bourré de suspens du début à la fin. Donato carrisi sait comment nous tenir en haleine ! Un roman pesant, et dans lequel j'ai eu peur ! Néanmoins quelques questions sur Hannah Ha...
Lire la suite
HeleneLbrcr
Publié sur
20/10/23
Je vous fais un retour sur la maison aux lumières, c'est le troisième tome de cette saga. Eh bien que les histoires soient indépendantes des unes aux autres, nous suivons toujours le psychologue "l'en...
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Poison_Pourpre
Publié sur
17/07/24
Dans le paysage littéraire du thriller psychologique, Donato Carrisi se démarque une fois de plus avec "La maison aux lumières", œuvre singulière et troisième pilier de sa trilogie envoûtante. Bien que faisant suite à "La maison des voix" et "La maison sans souvenirs", ce dernier tome peut être exploré de façon indépendante, permettant une immersion totale même aux nouveaux lecteurs.
Au cœur de cet épisode final (?), nous retrouvons le charismatique Pietro Gerber, psychologue et hypnotiseur pour enfants dont l'habileté et la compassion catalysent les énergies de cette trame captivante. C'est dans la splendeur de la Toscane que l'intrigue se déroule, un paysage qui exerce un effet presque hypnotique par lui-même, avec ses vibrations culinaires et ses panoramas oniriques.
Eva, une fillette de dix ans affligée de troubles mystérieux, habite un manoir isolé, comme détachée du monde qui l'entoure, sauf que son existence est partagée avec une présence invisible – un ami imaginaire, guidant ses actes. Elle vit seule avec une gouvernante et Maja, sa jeune fille au pair, dans une quiétude trompeuse rendue palpable par le style évocateur de Carrisi.
La narration s'épanouit entre les murs d'un passé enfoui et des secrets tus. L'histoire d'Eva fait écho à la disparition, jamais élucidée, d'un ami d'enfance de Gerber, prénommé Zeno. C’est là que l'auteur dévoile pleinement son expertise en manipulant avec brio les fils entrelacés de l'amnésie et des réminiscences, questionnant les confins de notre perception de la réalité.
Carrisi réaffirme sa maestria en plongeant le lecteur dans un univers où le fantomatique s'efface devant le réel, rendant son récit accessible même à l'esprit le plus sceptique. Mais là où ma conviction de lectrice expérimentée chancelle, c'est dans ce dernier acte qui, semblable à un crescendo inattendu, coupe la symphonie narrative avant sa résolution.
Bien que l’auteur ait usé de son pinceau littéraire avec délicatesse et précision tout au long de l’œuvre, la conclusion abrupte et naturellement mystérieuse laisse un arrière-goût d'inachevé, un manque que même l'atmosphère soigneusement élaborée ne peut totalement combler. Des questions restent sans réponses, telles des ombres au crépuscule, et l'on se retrouve happé dans une curiosité insatisfaite.
En somme, "La maison aux lumières" confirme l'adresse de Carrisi dans la création d’ambiances denses et la construction de personnages profonds. Malgré une finalisation qui décevra peut-être certains lecteurs, l'histoire conserve son essence magnétique. Un ouvrage à recommander, avec la promesse d'une évasion littéraire riche, même si elle peut se conclure sur des pas incertains dans l'obscurité des lumières parfois vacillantes de Carrisi.
Lire la suite
Sophie D.
Publié sur
23/04/24
Troisieme tome de la saga Pietro Gerber et je dois dire que la rededondance de la mise en place de la nouvelle intrigue a quelque peu altéré mon enthousiasme à poursuivre. Le personnage principal ne s'épaissit pas et le style de l'auteur ne relève pas la sauce. L'énigme du livre est prenante mais ses contours ennuyeux.
Ce sera mon dernier Donato Carrisi.
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Violaine G.
4/
5
Note moyenne obtenue sur :
BABELIO et FNAC