Promesse, solution ou illusion et exemple avéré de greenwashing ? La « finance verte » semble évidente mais reste une idée floue et controversée. Au-delà d’une mode, elle est devenue, au fil des quinze dernières années et particulièrement dans le sillage de l’Accord de Paris, une partie de la réponse à la crise climatique et environnementale.
À l’heure où les professionnels comme les parties prenantes de la finance (emprunteurs, épargnants, etc.) s’interrogent à nouveau, cette édition entièrement mise à jour et complétée, revisite le sujet et en élargit la perspective au-delà du climat avec un nouveau chapitre sur les rapports de l’économie et de la finance à la nature. À partir d’une explication des enjeux, il propose notamment de :
À l’heure où les professionnels comme les parties prenantes de la finance (emprunteurs, épargnants, etc.) s’interrogent à nouveau, cette édition entièrement mise à jour et complétée, revisite le sujet et en élargit la perspective au-delà du climat avec un nouveau chapitre sur les rapports de l’économie et de la finance à la nature. À partir d’une explication des enjeux, il propose notamment de :
- comprendre le rôle de la finance dans l’action face au réchauffement climatique et sa contribution à une transition vers un futur durable ;
- mettre en évidence ce qu’implique l’objectif d’« aligner » les flux financiers avec les objectifs climatiques et environnementaux envisagé par l’Accord de Paris ;
- identifier la manière concrète dont les différentes institutions financières peuvent se mettre au service de la transition vers la neutralité carbone.