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Picasso, Manolete, Lorca, l'esprit flamenco et le fleuve gitan, autant de composantes du génie espagnol que Cocteau, touriste visionnaire prompt à découvrir la vérité poétique des paysages et des peuples, brasse comme les gemmes d'un éblouissant kaléidoscope...
Avis des lecteurs
Publié sur
28/03/20
"La corrida du 1er mai" n'est pas un roman mais une réflexion, une pensée, une analyse sur l'Espagne et ce qui en fait son identité à travers les yeux de Cocteau.

Cocteau nous fait part avec beaucou...
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diablotin0
Publié sur
14/03/00
Si vous lisez ces lignes, c'est qu'a priori vous êtes sensible à la chose taurine et qu'il n'est guère utile de la défendre pour vous. Cocteau nous emmène "au toro" avec un peu moins de précision qu'Hemingway (on s'y attendait) mais avec beaucoup plus de poésie (on s'y attendait aussi). On attaque bille en tête, puis on arrive vite à la fin. On a un peu l'impression d'avoir vu une corrida, on a aussi un peu l'impression de n'avoir rien vu du tout mais d'avoir entendu Picasso et d'autres en parler. Puis on a l'impression d'avoir entendu Picasso et d'autres parler de l'Espagne. Puis on ne sait plus du tout ce qu'on a lu, mais on est heureux. Profondément heureux. Comme quand, après l'amour, on n'a pas forcément envie de se rappeler le détail de ce qu'on a fait mais qu'on est heureux de l'avoir fait. Et puis, 40 F pour une heure de corrida ou une heure d'amour, c'est vraiment donné. Merci Cocteau et merci Grasset pour cette jolie édition de poche avec quelques dessins, un petit cadeau tout à fait offrable. Olé!
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Anonyme
4/
5
Note moyenne obtenue sur :
BABELIO et FNAC