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La contrebasse est l’instrument le plus gros, le plus puissant et le plus indispensable de l’orchestre, le plus beau aussi, dit d’abord le contrebassiste. Mais bientôt l’éloge pompeux laisse affleurer les frustrations et les rancœurs du musicien et de l’homme. Et peu à peu la haine d’abord refoulée de cette encombrante compagne s’exprime, se déchaîne et explose jusqu’à la folie...
Un monologue tragique et drôle, par l’auteur du Parfum.

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Avis des lecteurs
Publié sur
20/10/20
Non seulement je l'ai lu dans le train mais j'ai aussi voyagé dans la tête de l'auteur de ce monologue. Un très bon moment !
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evelyne D.
Publié sur
05/05/20
Très bien intéressant super étonnant
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Catherine G.
Publié sur
16/10/16
Formidable ..du suskin quoi ...
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jacqueline m.
Publié sur
01/10/12
Excellent, j'ai pense à Jacques Villeret qui avait magnifiquement interprété ce rôle.
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Cuvette
5/
5
Note moyenne obtenue sur :
FNAC