Vos envies de lecture commencent ici

NEWSLETTER
Acheter au format
Papier9,70 €

Composé en 1923, La Conscience de Zeno est sans doute le premier grand roman inspiré par la psychanalyse. Mais il est bien plus que cela. Avec la confession de son héros - narrateur qui entreprend d'évoquer pour le médecin qui le soigne les faits marquants de son existence, il demeure l'un des livres fondateurs de la littérature européenne du xxe siècle. C'est Eugenio Montale, Benjamin Crémieux et Valery Larbaud qui révélèrent et imposèrent simultanément, en France et en Italie, pendant l'hiver 1925-1926, le nom d'Italo Svevo, l'écrivain triestin né en 1861, et qui allait mourir en 1928...

Avis des lecteurs
Publié sur
09/03/23












Questo grande classico del primo Novecento italiano da me lasciato in disparte fino ad adesso, mi ha occupato un buon mese…in genere, un tempo di lettura così lungo, non è buon segno. In e...
Lire la suite
silviaaa
Publié sur
24/09/20
Livre pour ma fille en classe de terminal
Lire la suite
david b.
Publié sur
19/06/18
Si l'on considère que ce bouquin se trouve invariablement dans le " Top 100 des Meilleurs romans de tous les temps " : il est légèrement décevant pour un lecteur aguerri du XXI ième Siècle(un peu comme L'Homme sans qualités ) .... Il y est question de psychanalyse(à ses débuts à l'époque) Mais ce n'est en fait pas du tout un récit psychanalytique(sauf la référence à OEdipe ) . Tout baigne dans un milieu fortuné où l'on n'a pas besoin de travailler . Le long chapitre sur la tentative sans fin d'arrêt du tabac est certes comique , et ces échecs répétés dénotent(ou engendrent ) une névrose réelle . La dévalorisation du fils , due au regard et aux réflexions du père , est terrible . Surtout le livre est dominé par l'amour pour les femmes , la fascination qu'elles exercent , le désir de les séduire , de les posséder , avec échecs fréquents , et culpabilité vis-à-vis de son épouse : là aussi Névrose certaine ! Résultat : un bien-portant désoeuvré , malade imaginaire .... Conclusion : il s'agit de " la maladie de la vie " , vie qui a inévitablement des aléas , et est effectivement à coup sûr mortelle ! En conclusion : l'Homme se crée des besoins , de l'inutilité , qui finalement le dépriment ! Visionnaire à la fin , Svevo écrit que l'Humanité va aller à sa perte car quelqu'un va bien finir par inventer une arme de destruction massive ....
Lire la suite
Michel P.
4.5/
5
Note moyenne obtenue sur :
BABELIO et FNAC