“Pendant près de 2 000 pages, la totalité des cinq volumes qui composent l’oeuvre, Minetaro Mochizuki tient son lecteur en haleine.” Elodie Drouard - Franceinfo.fr
Teru est seul. Il parvient à atteindre Tokyo avec l’espoir de retrouver Ako saine et sauve. Mais la ville déserte ne lui renvoie que l’immensité du vide qui l’habite. Pourtant, sous terre, une radio fonctionne...
Douche froide ! Je suis bien obligée de le reconnaître, j'ai beau avoir adoré le développement de l'oeuvre sur les quatre premiers tomes, la trouvant vraiment magistrale dans son écriture d'un pays au...