Difficile pour le profane de les distinguer par l’habit ou la tonsure, mais on sent bien que d’une affiliation à l’autre, d’un individu à l’autre aussi, la variation règne en matière de savoir, de compétence, de foi, de désintéressement, de souci de l’autre…
Comparaison n’est pas raison et on pourrait en rester là : mais non ! Par choix ou par injonction thérapeutique, chacun est passé, passe ou passera chez le psy. Donc, mieux vaut affronter doutes et préjugés, et tenter d’y voir plus clair : à qui servent les psys (eux-mêmes, la société, leurs patients ?) et à quoi (comprendre, surveiller, guérir ?).
N’interrogeons pas pour une fois les doctrines, les théories ou l’administration. Mais la sincérité d’un homme.
