Élevée par sa mère blanche dans la France des années 1970 et des publicités Banania, une jeune femme métisse part à la recherche de son père au Sénégal, poussée par un élan vital : celui d’une petite fille pétrie de littérature enfantine et d’attentes irrésolues, qui ne veut pas grandir tant qu’il ne l’aura pas reconnue. Dansles rues de Dakar, elle rencontre pour la première fois sa propre image, mais le pays lui reste étranger et la réalité refuse de ressembler à un conte de fées. Existe-t-il, quelque part, un royaume lointain qu’il faudrait atteindre pour y découvrir sa vérité ?
Sous la plume agile d’Amina Richard, cette quête du père devient une épopée impossible, drôle et bouleversante. On est embarqué dans un souffle unique, mélange d’envolées bien senties, de trouvailles extirpées de la vie quotidienne et de grande maîtrise narrative. Dorothée Werner, Elle.
Ce premier roman entraîne le lecteur dans la psyché d’une métisse rendue lucide par la haine des autres et aveugle par l’absence d’un père. Beau et terrible. Gladys Marivat, Le Monde des livres.
Sous la plume agile d’Amina Richard, cette quête du père devient une épopée impossible, drôle et bouleversante. On est embarqué dans un souffle unique, mélange d’envolées bien senties, de trouvailles extirpées de la vie quotidienne et de grande maîtrise narrative. Dorothée Werner, Elle.
Ce premier roman entraîne le lecteur dans la psyché d’une métisse rendue lucide par la haine des autres et aveugle par l’absence d’un père. Beau et terrible. Gladys Marivat, Le Monde des livres.