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Revue de presse : « La Nuit sur commande » de Christine Angot chez Stock, un livre sur le monde de l’art, les jeux de pouvoir et la quête de soi

Dans La Nuit sur commande, chez Stock, Christine Angot livre des réflexions sur le monde de l’art, et aussi sur l’écriture, à partir de son expérience et de ses souvenirs. L’écrivaine déjoue les règles de la collection « Ma nuit au musée » dans laquelle le livre est publié : elle ne reste qu’une partie de la nuit à la Bourse de commerce-Collection Pinault, lieu qu’elle choisit parmi tout autre, et où elle se rend accompagnée de sa fille, Léonore. De sa première rencontre avec l’art, liée à son père et donc à l’inceste, à sa position d’écrivaine désormais reconnue à qui l’on commande un livre, en passant par sa vie mondaine passée parmi certains des plus grands artistes français contemporains, l’écrivaine explore les thèmes du pouvoir, de l’art et de la quête de soi à travers l’écriture.

Christine Angot : dans les arcanes du pouvoir, des pouvoirs

Alors qu'elle passe une nuit au musée pour une commande littéraire, Christine Angot fuit. Elle parviendra à en tirer un livre, d'abord mordant sur les élites du monde de l'art, puis, soudainement, plus sombre, sur les abus qu'elle a subis. Et si la seule autorité acceptable devenait la littérature ?

Lilia Hassaine, Etcetera sur France Inter

 

Christine Angot : «  Une idée courante sur l’art est que son intérêt repose sur l’illusion. Alors que non, justement. »

Dans "Une nuit sur commande", paru chez Stock, Christine livre un témoignage sans compromis de son expérience de visiteuse nocturne de la Bourse du Commerce à Paris. Elle invite le comédien et humoriste Vincent Dedienne.

Le grand atelier de Christine Angot, France Inter

 

Frédéric Beigbeder : « Éloge de Christine Angot par son pire détracteur »

Angot a été souvent imitée, mais on préfère l’originale.

L’une des principales joies de la critique littéraire consiste à retourner sa veste. On a souvent critiqué Christine Angot. On l’a traitée de folle hystérique, de mythomane, de narcissique. Or, elle a influencé toute une génération d’écrivains – je refuse de dire « écrivaines » car beaucoup d’hommes l’imitent aussi. Si l’on reconnaît l’importance d’un auteur à son empreinte sur le style de son temps, Angot est une référence centrale de notre littérature. On reconnaît d’abord une rythmique et une énergie, concentrée dans une densité syncopée. On peut être exaspéré par ses redondances, mais on ne peut discuter sa force. La preuve d’une écriture, c’est le pastiche. Si Angot a souvent été parodiée – y compris par votre serviteur –, c’est que sa forme s’est imposée.

Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine

 

Christine Angot passe une nuit au musée : “demande” ou “commande” ?

« On croit ouvrir un livre divertissant sur un musée, on en ressort foudroyé par une question. Qu’est-ce qu’une demande ? se demande Christine Angot dans La Nuit sur commande. Deux heures de lecture, deux semaines à cogiter... Et si derrière chaque demande, même la plus innocente, se cachait une commande ?

Ariane Nicolas, Philosophie Magazine

 

 « La Nuit sur commande », le nouveau roman de Christine Angot : heureusement Léonore

D’une soirée passée à la Bourse de Commerce-Collection Pinault en compagnie de sa fille, l’écrivaine livre, pour la collection « Ma nuit au musée », une méditation sèche et drôle sur le monde de l’art et sur sa propre place dans ce monde.

Jean Birnbaum, Le Monde

 

Dans « La Nuit sur commande », Christine Angot au régime sec de l’écriture

Pour la collection « Ma Nuit au musée » chez Stock, Christine Angot a passé une nuit à la Bourse de Commerce, à Paris. De cette expérience a découlé La Nuit sur commande, à paraître le 12 mars, réflexion sur son rapport à l'art et à l'écriture, et la nécessité de revenir sur les routes qu'elle avait, depuis ses débuts, empruntées.

Laëtitia Favro, Livres Hebdo

 

Christine Angot, Elsa Sahal, Copenhague artistique : 4 livres qui nous ont fait chavirer

Les créatures intrigantes de l’artiste féministe et militante Elsa Sahal, un essai haletant sur l’exil des intellectuels sous le régime nazi, la nuit au musée de Christine Angot… En cette fin avril, coup de projecteur sur les auteurs qui nous ont fait chavirer. Beaux Arts vous partage ses quatre ouvrages coups de cœur du moment.

Daphné Bétard, Solène de Bure et Pierre Morio, Beaux Arts Magazine

 

Lucile Charlemagne