"Rien ne s’efface sur internet, même après la mort" prévient la quatrième de couverture de Ce qu’il reste d’Alice (Calmann-Lévy). A l’heure où l’on peut créer des profils posthumes sur les réseaux sociaux, ce premier roman de TR Richmond résonne comme une sentence. Ce thriller psychologique et générationnel exploite la thématique ultra-contemporaine des traces digitales à travers l’histoire d’Alice Salmon. Alors qu’un avenir radieux sourit à la jeune femme de 25 ans, son corps est découvert sous un pont balayé par la rivière…. L’un de ses anciens professeurs tente alors d’élucider le mystère de sa mort en reconstituant le puzzle de sa vie grâce aux différentes traces qu’elle a laissées sur Facebook, Twitter, Spotify, des forums ou des blogs. Ne vous sentez pas visée, tout va bien sous votre parasol.
