"Captive volontaire entre les murs de la pointe de la Douane à Venise, l'autre du Pays des autres transforme l'expérience d'un soir en une extraordinaire profession de littérature."
Flavie Philipon, ELLE
"C'est là toute la subtilité de ce récit : plutôt que nous entretenir seulement d'art contemporain et de se contenter de "portraitiser" cet endroit inouï, la Punta della Dogana, Leïla Slimani a écrit une ode, non pas à la littérature, mais, plus intéressant encore, à l'écriture - à la difficulté, à l'importance de l'écriture."
Maurice Szafran, Challenges
"Le Parfum des fleurs la nuit désarme par sa sincérité, sa lucidité, voire sa nonchalance. Leïla Slimani y exprime son tiraillement entre deux pays (la France et le Maroc), deux conditions féminines (femme qui bosse et mère de famille), deux états d'âme (ambition créatrice et complexes culturels)."
Frédéric Beigbeder, Le Figaro
"Dans ce berceau au milieu de l'eau, livrée à la mélancolie de son passé abandonné, elle entremêle la découverte des tableaux, sculptures et photos, avec les sensations redevenues précises de ses premières années."
Jean-Claude Raspiengeas, La Croix
"Si ce confinement nous renvoie à notre actualité, [...] son regard, promené au hasard, est la procuration d'une lucarne sur le monde qui nous rappelle que l'imaginaire ne se limite pas entre des murs."
Nicole Ladron de Guevara, La Provence
"Ses pages sur la mémoire blessée, sur l'injustice à arracher à l'oubli, sur la place à habiter honnêtement sur cette terre, sont parmi les plus vibrantes qu'elle ait jamais offertes."
Marie Chaudey, La Vie
"Leïla Slimani a une manière de se livrer avec un mélange de sincérité brutale (celle que permet la nuit, sans doute) et de maîtrise d'elle-même qui fait le charme de ce livre, le premier dans lequel elle s'autorise l'autobiographique."
Raphaëlle Leyris, Le Monde
"C'est un beau livre, comme un traité de soi-même, la trame d'un moucharabieh de ténèbres."
Marc Lambron, de l'Académie française, Le Point
"Son livre est l'autoportrait d'une romancière acharnée, qui a compris grâce à Salman Rushdie qu'on n'est "pas obligé d'écrire au nom des siens", et que s'enfermer dans la littérature est le meilleur moyen pour se libérer de tout le reste."
Grégoire Leménager, L'Obs
Shannon Humbert.