Avec les trois livres de la collection Allo Docteurs, En finir avec le sucre, En finir avec les troubles du sommeil et En finir avec les troubles digestifs, découvrez l'approche bienveillante de l'éducation à la santé d'Allo Docteurs, sous la direction du Docteur Marina Carrère d'Encausse.
Le manuel pour se défaire du sucre
Une consommation excessive de sucre est une barrière à un mode de vie sain pour beaucoup de Français. Avec En finir avec le sucre, la journaliste et réalisatrice pour le Magazine de la Santé Claire Ricard vous donne des conseils pratiques ciblés selon vos besoins pour parvenir à réduire votre consommation de sucre et équilibrer votre alimentation.
Zoom sur le sucre et le cerveau
À un rythme de croisière, le cerveau humain consomme 20 % des calories ingérées alors qu’il ne représente que 2 % du poids total du corps. Chaque jour, il utilise en moyenne 120 grammes de glucose pour fonctionner, à raison de 5 grammes par heure. (p.17)
Soignez votre système digestif
Intolérance au lactose ou au gluten, hoquet, reflux, ballonnements, intestin irritable, constipation… En finir avec les troubles digestifs de la journaliste et chroniqueuse scientifique de Marie Anton et Claire Ricard vous aidera à pallier les effets de ces maux.
Zoom sur le ventre, ce deuxième cerveau
Le ventre contient autant de neurones que le cerveau d’un chien, c'est-à-dire 200 millions. Ce nombre est certes moins impressionnant que la quantité de neurones qu’abrite le cerveau humain (plusieurs milliards !), mais il témoigne de l’intense activité que demandent les fonctions de la digestion. Courir après le facteur ou digérer son bifteck : même combat, apparemment ! (p.27)
Le livre qui va vous aider à dormir !
Dans En finir avec les troubles du sommeil, Cécile Guéry Riquier, journaliste santé depuis plus de 15 ans, vous partage toutes les clés pour retrouver un sommeil réparateur !
Zoom sur la mélatonine
L’envie de dormir est principalement provoquée par la sécrétion d’une hormone, la mélatonine, dont le nom vient du grec « melanos » qui veut dire « noir, obscur ». Cette hormone joue le rôle de messager en informant notre corps de l’alternance du jour et de la nuit. Elle ne provoque pas directement l’endormissement mais sa production annonce que le soir est arrivé et qu’il est temps d’aller au lit. Pendant la journée, le cerveau libère peu ou pas de mélatonine, mais dès que la lumière du jour décroît et que nos yeux perçoivent l’augmentation de l’obscurité, la glande pinéale, située au centre du cerveau, commence à en fabriquer, pour atteindre un pic entre minuit et 4 heures du matin. (p.15)
Emma
